Elandora - Serveur Minecrat FR
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Forum Officiel du Serveur Minecraft Français Elandora

Le deal à ne pas rater :
Fnac : 2 Funko Pop achetées : le 3ème offert (large sélection de ...
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

A Song of Dwarves

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

1A Song of Dwarves Empty A Song of Dwarves Mer 6 Fév - 10:02

Areksar

Areksar
Admin


A Song of Dwarves Songofward

Chapitre I : Le Dernier des Areksars

L'invasion du Caslyan avait été un cataclysme pour tous. Un fléau ravageant les plaines, les villes et les monts du Royaume de Marodia. D'une certaine façon l'invasion avait été prévisible : les luttes intestines étaient trop fortes, trop violentes pour ne pas conclure dans un malheur suprême. Un pays qui n'est pas uni face aux défis ne saurait résister aux temps et aux hommes.

A Song of Dwarves Coolprintvikingshipi

Quand l'invasion avait débuté, quand la ville d'Ecensor sombra dans les flammes, des milliers de gens avaient fuis vers le Sud dans le vain espoir de pouvoir passer au Frilanka. Malheureusement la mer était traversable qu'en navire et les hauts dignitaires du Royaume les avait tous confisqués pour fuir avec leurs proches et leur or. Un tonneau d'or valait plus qu'un paysan, le choix pour ces grands aristocrates était vite fait quand il fallait choisir entre la richesse et l'humanité. Seuls quelques rares malins avait pu fuir le désastre parmi lesquels un certain Aegon Areksar.

C'était un adolescent trop jeune pour la guerre qui avait échappé aux massacres de la Bataille d'Ecensor. Retranché dans l'Areksburg avec son grand-père durant le conflit, il avait pu échappé à Ecensor en fuyant via les couloirs souterrains qui connectait l'Areksburg avec un passage secret conduisant au Frilanka en passant sous la mer. Le grand-père, trop vieux, avait préféré passer ses dernières heures dans les caves de l'Areksburg incitant son petit-fils de courir au plus vite et de ne pas se soucier de lui. Le jeune Aegon avait prit la fuite, le cœur déchiré, laissant un vieillard dans les profondeurs de l'Areksburg. Pour l'histoire, il faut savoir que le grand-père ne décéda pas par l'épée mais s'endormit quelques heures plus tard sur un banc en pierre dans le canyon souterrain entouré d'arbres et sous la lumière de la lave sous vitre.

Aegon arriva plusieurs jours plus tard sur les quais du Frilanka ou les nobles embarquaient dans le navire royal avec leur pourpre, leur or et leur vanité. Les représentants des grandes maisons étaient là, tous acteurs du désastre mais échappant au jugement de leurs actions en laissant les innocents payer le prix de sang. Le jeune réfugier réussit à monter sur le navire en s'engageant comme marin. Si une chose manquait ici, c'était des marins pour diriger ce puissant navire. C'est ce besoin qui le sauva la vie car nul doute que les aristocrates n'aurait jamais cédé un peu de leur espace pour un qu'ils méprisaient profondément.

Le jeune marin passa le voyage non à contempler la mer et de nouvelles terres mais à nettoyer, aider dans la cuisine, ouvrir et fermer les voiles et faire toutes les tâches qui conviennent de faire quand on est en haute mer. Il grandit avec le temps et ses traits se durcissent. Les gens de haute noblesse le regardaient avec une certaine méfiance, reconnaissant les traits gros et brut qui marquent le peuple des nains et s'inquiétant de le voir grandir avec une vitesse impressionnante.

Il faut savoir que dans les veines du jeune Aegon coulait du sang de nain, le sang de ce peuple de Goldanith ayant bâtit les merveilles d'Ecensor . Si les générations passées et les mariages conclus avec des humaines avaient enlevés la petite taille caractéristique, les traits de visage et l'esprit de nain subsistait après presque un siècle de mélange. Les gens le voyait et se rendait compte d'y avoir quelque chose à se méfier. Les autres marins étaient moins inquiets que les aristocrates, voyant en lui un compagnon fiable et surtout intelligents. Ceci dura des nombreuses années et l’adolescent devint un homme marqué par la méfiance des grands à son égard mais aussi par la vie passé sur la mer.

Quand Aegon avait mit le pied sur le navire, il était un enfant apeuré par le sang et les désastres vus ; quand il quitta définitivement le navire pour poser pied sur la nouvelle terre et patrie ; ce fut un homme fait qui se présenta rempli de l'ambition de se faire sa place dans cette nouvelle contrée.

Pendant le débarquement, un aristocrate le poussa pour pouvoir passer sans lui adresser le moindre regard et signe d'excuse. Aegon grinca les dents et s'apprêta à agir alors que soudainement un vieux marin lui dit : « Ne te fatigue pas, petit. Laisse-le partir avec sa fierté et ses titres. Ils s'agenouilleront tous devant toi un jour, un jour, j'en suis certain, les barons, comtes et ducs plieront le genoux devant toi. Viens, allons demander nos parcelles et nos terres agricoles. Laissons ses grands seigneurs joueur aux grands. »



Dernière édition par Areksar le Lun 18 Fév - 9:51, édité 1 fois

2A Song of Dwarves Empty Re: A Song of Dwarves Jeu 7 Fév - 13:15

Areksar

Areksar
Admin

Chapitre II : Plus riche que les Dieux

A Song of Dwarves 2pf55qx2

Quand je suis arrivé dans le Nouveau Monde, j'étais un jeune homme sans fortune autre que les douloureux souvenirs de ma jeunesse passé à Marodia. J'y avais en plus de ceci rien d'autre que les vêtements que je portais et ceci fut peu. Néanmoins j'ai pu jouir des faveurs de Destin qui m'ont permit d'acquérir une fortune que je pense me donne aujourd'hui l'obligation sacré de la gérer non pour mon bien mais pour le bien collectif. Car voilà, la richesse n'est pas un don mais une obligation, celle de devenir conscient de son rôle sacré pour la société. Les pauvres, eux, doivent être égoïstes et c'est leur droit naturel car un pauvre altruiste est condamné à la mort par la faim. Les riches, eux, ne le peuvent pas car c'est leur devoir social d'investir et par leur richesse faire le bien du collectif. Un égoïste qui devient riche est un criminel car il viole par son avidité la loi sacré de la solidarité des communautés humaines. En tant que criminel il mérite d'être dépouillé de sa fortune car il s'est rendu indigne de cette élévation accordé par la Providence.

Quand je suis arrivé, je reçu comme tant de pauvres un loti de terre. N'ayant pas été lié à une des grandes familles et en raison du sang qui traverse mes vains, on m'offrit un terrain peu fertile et en soi assez rocheux. La première culture que je fis porta de fruits mais rien à faire le vrai bonheur d'un homme. C'est alors que je prit une décision d'une grande importance. Je me lanca dans mes heures libres dans l'exploration des sous-sol de ma ferme, poussé par une envie qui doit provenir du sang qui coule dans mes vains. Les dieux furent cléments et je découvris une caverne naturelle qui fut marqué par des petits gisements d'or. A cette époque l'économie ne fut point réglé par le roi et je pu donc fondre l'or et me faire ainsi le pilier de ma fortune. Je ne dis rien aux autres, minant cet or et acquérant rapidement une belle fortune. Je pus alors acquérir une concession de mine sous le Mont Hylia me permettant ainsi d'exploiter une belle mine de diamant et d'or qui propulsa ma fortune à des hauteurs pas encore imaginés. Il m'arriva alors de dépasser en richesse le jeune roi, une chose bien dangereuse en tout époque et sous tout gouvernement.

Ma fortune faite grâce à la force de mes bras et les dons de la terre, je décida de bâtir une demeure digne de ceux construits par mes ancêtres dans la lointaine Marodia. Je savais par les histoires que ma famille avait toujours été une famille de bâtisseurs de forteresses et je désirais reprendre cette tradition. Il s'avérait aussi que ma fortune me rendit prudent et des bons amis me dirent qu'une bonne forteresse serait la meilleure façon de me protéger de toute mauvaise action humaine. Les humains sont naturellement jaloux et leurs dirigeants méfiants envers ceux qui ont les choses en surplus pouvant leur nuire de quelconque façon. Cette forteresse, je la bâtis et fit bâtir avec des briques dont je connaissais le secret de la fabrication.

La construction de la forteresse fut lié à des nombreuses aventures. Je me rappel comment avoir remonté l'Anduin vers sa source, faisant collecter toute la terre argile. Bien d'ouvriers que j'avais engagés ne comprirent pas que cette terre vaseuse si semblable à de la boue fut l’élément clé pour fabriquer une des plus belles pierres qui soit. Des tonnes d'argile descendaient le fleuve pour être cuit dans les fors de ma demeure à Nouvel Ecensor. Une fois à la source de l'Anduin, nous exploitions les plaines inondées au-delà de la Plaine des Moutons. A l'époque, on n'avait jamais vu une telle production de brique. Il fallait dire que peu de gens avait même vu de leur vie des briques car même à Marodia, cette matière restait novatrice.

A Song of Dwarves Theredkeep

Mais la recherche d'argile ne fut pas la seule aventure liée à la construction de la forteresse. Une de mes plus extraordinaire aventures fut celle que je fis dans le Nether en compagnie de plusieurs compagnons pour trouver de la brique de nether à fin d'ériger les colonnes de la salle de banquet. Je ne cache pas que ce fut une aventure difficile car les monstres sont nombreux et agressifs dans ce monde. C'est seulement après une longue et difficile bataille que nous avons atteint le pont conduisant vers une forteresse des forces souterraines. Ne voulant pas forcer notre chance, nous avions prit tout la brique que nous pouvions et avons rejoint le portal pour revenir dans notre monde. Je ne regrette pas cette aventure qui fut difficile mais qui a mérité d'être vécue.

3A Song of Dwarves Empty Re: A Song of Dwarves Lun 18 Fév - 10:01

Areksar

Areksar
Admin

Chapitre III : Le complot contre le Roi

La nuit régnait sur le Nouveau Monde comme une divinité des temps anciens. La coupolle en verre du Temple Bleu, cette infâmie aux yeux de la Maison de Jacinto, réfletait la lumière lunaire en compagnie de ses quatre tours. La majeure partie des habitants de Nouvel Ecensor succombaient le sommeil des justes pendant que les gardes se tenaient aux portes de la ville guetant les infâmes créatures potentielles. Les souvenirs de Marodia s'effacaient lentement avec les ans avancant, la nouvelle vie surplantait celle vécu dans le Vieux Monde, aujourd'hui un énorme brassier.

A Song of Dwarves Varys

Le Château des Areksars trônait sur la colline Droko avec ses pierres rougeatres et ses cimes en pierre grises. C'était à côté du Temple Bleu le plus grand édifice de la ville et la première forteresse du Nouveau Monde. Elle avait été bâtie pour résister aux monstres et ennemis humains, bâtit dans un dessein de protèger l'or des Areksar qui dormait dans ses caves loin des yeux du jeune roi. Certains prétendaient qu'Aegon Areksar serait capable de ruiner l'Etat en un jour à condition de deverser son or et ses diamants sur le marché royal. Personne n'a encore trouvé preuve à ce qui semble être d'avantage fiction que fait avéré. Mais il était assuré pour tous qu'Aegon Areksar cachait bien de choses dans ses souterrains et que les chariots venus de ses mines apportaient bien de choses dans cette forteresse.

Aegon se trouvait durant cette nuit dans ses appartements au sommet de la forteresse. Le pont-levis avait été levé fermant le château aux étrangers et créatures de la nuit. Il était en compagnie d'un vieillard en soutane noire et dont la tête était couverte par une capuche de la couleur de la nuit. C'était l'alchimiste du châtelain, un certain Droadin, un homme d'une grande connaissance dans beaucoup de domaines savant produire des élixirs de toute sorte. Le jeune Aegon était penché sur une grande table dans la chambre de travail. Sur la table étaient parsemés des cartes et plans de toute sorte. On pouvait voir une carte des mines et canyons souterrains en sa possession même si sous terre il était toujours difficile de faire valoir un droit légitime. Sur terre ce n'était pas plus facile. Les moines du monastères des Sept Etoiles tentaient systématiquement de s'approprier de la montagne pour y implanter des fermes, chose inacceptable pour Aegon qui avait la ferme intention de défendre son mont. Timon le Grand Prêtre était connu pour son attitude de s'approprier de tous ce qui n'était pas clairement revendiqué.

L'alchimiste présent et Aegon discutaient entre eux sur les sujets d'actualité comme la politique, le commerce et l'économie. En ce moment, ils discutaient sur le Marodia.


Droadin : Si vous voulez mon avis, la principale cause de la chute de Marodia fut la faiblesse de ses rois. A part Eckwan Ier, ils étaient soit trop jeunes soit trop faibles par rapport aux seigneurs locaux. En tout instant le royaume n'avait pas le roi qu'il méritait et je crains que cette histoire se répète.

Aegon : Peut être mais ceci sont des temps passés. Mais que voulez-vous dire que l'histoire se répète ?

Droadin : Regardez, notre actuel roi est un enfant, un jeune sous domination du régent et qui, si vous voulez mon avis, ne promet pas d'offrir un roi fort. Cette tradition de confier le pouvoir à des enfants est une abération.

Aegon : Ceci est néanmoins la tradition.

Droadin : Certains traditions peuvent changer et je pense que ce serait que du bien pour tous si un homme plus fort et courageux prendrait la couronne.

Aegon : Comme qui ? Le jeune Toron ?

Droadin : Trop militariste et donc pas capable de règner en paix. Non, je pense qu'il nous faut quelqu'un d'autre. Je ne vais pas me cacher, je pense que vous devriez prendre le pouvoir. Voyez, avec l'or qui dorment dans vos caves, nous aurons quoi corrompre les gardes de la ville et engager assez de mercenaires pour nous assurer le contrôle sur la ville. On aura qu'a mettre le jeune roi sous surveillance pendant que nous stabilisons la situation.

Aegon : Ceci est un acte de félonie. Si j'avoue que la faiblesse des rois est une chose inquiétante, nous ne pouvons pas nous permettre de violer la succession royale.

Droadin : A quoi respecter la loi si ceci nuit le peuple ? A quoi servent les rois légitimes quand ils plongent leur royaume dans le chaos ? A rien, ils échouent dans leur ambition la plus vitale et donc leur raison d'être. Reflechissez et vous découvrez que j'ai raison. Nous pouvons assurer à ce royaume grandeur et bonheur si nous avons le courage de mettre fin à une dynastie qui a apporté que malheur.

4A Song of Dwarves Empty Re: A Song of Dwarves Mer 20 Fév - 21:49

Areksar

Areksar
Admin

Chapitre IV : Thorir, le Banquier du Diable

Thorir Idrazil faisait parti des gens au service d'Aegon Areksar. Etant un nain des Montagnes orientales, un des nombreux natifs vivant dans la ville de Nouvel Ecensor, il gérait la Banque de Fer et les mines du seigneur Areksar avec beaucoup de précision et avec une loyauté à toute égard. Jamais on l'avait pu suspecter d'avoir détourner même la plus petite monnaie. S'il existait un être de vêrtu dans cette ville, c'était bien lui. Il était un de ces petits qui vivent chaque jour sans grande histoire et que l'Histoire ne retient pas. Mais le jeune Thorir devait bientôt être confronté à une affaire d'une telle ampleur que son nom risquait fortement de finir dans une chanson.

A Song of Dwarves 65027769
C'était un jour comme un autre. Thorir revenait avec quelques compagnons des mines pour déposer les minérais trouvés dans les coffres privés du seigneur Areksar. Les mines ne donnait plus autant qu'au début et bien pensaient qu'il fallait envisager d'ouvrir une nouvelle plus loin pour pouvoir continuer à trouver de l'or et du diamant en quantité respectable. Arrivant dans le hall principal de la Banque de Fer, il s'apercut d'une jeune femme habillée en tissus bruns et noirs. Une servante sans aucun doute. La femme cachait son visage derrière des draps et ses yeux dévolaient peur et inquiétude. Thorir sentait que quelque chose n'allait pas et s'approcha d'elle. Il s'adressa à elle, sachant pas s'il n'allait pas regretter ce geste d'humanité.


Thorir Idrazil : Que vous arrive-t-il, vénérable dame ? Vous semblez perdus ? Etes-vous venu faire un dépôt et faire un prelevement ?

Inconnue : Ni un ni l'autre, je dois vous parler en urgence. Le temps presse et je peux faire confiance à personne. Seul vous êtes assez franc pour que je ne puisse pas craindre trahison.

Voila un cas unique. Ce discours interpellait Thorir qui décida alors d'inviter la servante à le suivre. Ils montèrent les escaliers vers les nouvelles salles de trésors recemment aménagés. S'enfermant dans une d'elles, Thorir s'adressa à nouveau à la jeune femme.

Thorir Idrazil : Parlez. Cette salle est vide de toute vie à part nous et les murs sont assez épais pour retenir le son de nos voix.

Inconnue : C'est au sujet du roi...

Thorir Idrazil : Lui est-il arrivé quelque chose ? Je crains de pas pouvoir vous aider. Je suis un simple serviteur.

Inconnue : Non...ou disant pas encore. J'ai entendu une chose affreuse hier soir en apportant de l'eau dans les appartements du Seigneur Areksar. Vous devez me promettre de rien dire au seigneur Areksar.

Thorir Idrazil : Parlez sans crainte. Vous avez ma parole d'honneur que je ne dirais point de mot au seigneur.

Inconnue : Bien, j'ai entendu l'alchimiste et le Seigneur Areksar parler entre eux. Ils ont parlés de renverser le roi et prendre le pouvoir. Je sais que ceci peut sonner faux mais je ne serais pas venu ici en prenant tant de risques si ce ne serait rien.

Thorir était choqué. Voila des propos dangereux et inimaginables. Disait-t-elle la vérité ? Il observait ses yeux et son visage. La peur fut trop vraie pour être jouée, l'horreur trop naturelle. Il ne pouvait pas accepter l'idée que le bon seigneur Areksar serait tombé à comploter contre le roi. Il répondit alors.

Thorir Idrazil : Bien, je vais avertir le roi. Partez et cachez-vous. Probablement qu'on vous cherchera des qu'on découvrira votre action.

La jeune servante disparut aussitôt laissant Thorir seul. Le nain réflechit quelques instants avant de sortir à son tour de la salle de trésor. Il n'y avait plus de doute de possible. Il devait aller avertir le roi du complot. C'était son devoir de sujet et il n'avait pas d'autre choix.

C'est ainsi que Thorir partit et alla vers la mairie apportant ainsi aux serviteurs du roi l'effroyable vérité du complot contre le monarque.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum