Elandora - Serveur Minecrat FR
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Forum Officiel du Serveur Minecraft Français Elandora

-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Risabella arrive, enchanté ;)

2 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

1Risabella arrive, enchanté ;) Empty Risabella arrive, enchanté ;) Mar 11 Sep - 16:17

Risabella


Villageois

Je ne connaissais pas mon vrai nom. Je ne n'était qu’une enfant, perdu dans un monde de grand. J’ai toujours vécu loin des autres, loin des gens.

Je gagnais ma vie en chantant et dansant, comme les bohémiens avec qui parfois je partageais mon pain.
J’ai grandis isoler, dans cette petite ferme qui me servais de maison. Je n’avais pas de père, je n’avais qu’une mère.
Elle m’avait dit que celui-ci était mort, je l’ai cru.

Dans mes jeunes années, j’étais une petite enfant ignorant la dur labeur et le travail. Ma mère chassait et moi, j’allais danser au village, récoltant quelque pièce, de quoi faire un repas. Beaucoup m’appréciait, et parfois me demandait d’être leur amie.

Mais lorsqu’ils me demandaient mon prénom, je ne leur répondais rien, je n’en avais pas.

J’étais la danseuse sans nom, la chanteuse sans titre.


Aux alentours de mes huit ans, une enfant du village était venue me voir, un sourire aux lèvres, un livre sous le bras.

Je ne savais pas lire, elle me l’a appris.

Ce conte racontait l’histoire d’une poupée, sortit d’une boîte à musique, qui cherchait à devenir humaine. Son nom, à cette pauvre poupée, c’était Risabella.

Cette jeune fille me nomma ainsi, fessant de moi un être vivant à part entière. Risabella, c’était devenu mon nom.

Les enfants du village m’appelaient ainsi :
« Risabella, la danseuse à la belle voix ».

Ce titre me plaisait, et me correspondait tant. Cette poupée me ressemblait : Elle aussi avait de long cheveux roux, lui descendant jusqu’aux hanches. Elle aussi avait les yeux turquoise, comme les miens.

On me connut sous ce nom durant toute ma tendre enfance, j’ai toujours aimé ce village.

A mes 15 ans, ma mère me donna un nouveau travail, plus dur qu’auparavant. J’étais devenu domestique dans la maison d’un riche marchand. Je chantais lors de ses réceptions, je préparais à manger lors de ses banquets.

J’étais bien payé, et ma mère, devenu trop vielle pour chasser, était obliger de resté à la maison, attendant que je ramène de quoi manger.

J’ai maintenant 20 ans…et ma mère est morte, il y a un mois. L’hiver trop rude avait eu raison d’elle… J’en avais parfois les larmes aux yeux.

Sur son lit de mort, ma pauvre mère m’avait confié un secret : j’avais un frère, et il était toujours en vie. Elle m’avait dit qu’il vivait dans un endroit appeler Ecensor, et que son nom…c’était Jacinto...si mes souvenirs étaient exactes. Elle ne m’a rien dit de plus, sauf que je pourrais toujours essayer de le rencontrer.

J’avais quitté la maison, il y a de cela 1 mois, et je me trouvais enfin à l’entrée du domaine d’Encensor.

Au loin, quelque silhouette se dessinait. Intimidée, j’avançai en baissant la tête, me fessant très petite, pour ne pas qu’on me remarque. Malheureusement, je m’étais déjà faite repéré….

Areksar

Areksar
Admin

Un vieux chariot s’avança sur la route. Le chariot était tiré par deux chevaux et son contenu était caché sous des draps. Un vieillard se trouvait sur le banc entra de guider les chevaux sur la route pavée du domaine d'Ecensor. Le chariot était accompagné par deux soldats sur chevaux, des hommes du Duc du Frilanka. Que pouvait bien se cacher dans ce chariot ? C'est alors que le groupe de voyageurs vit au loin une jeune femme. Elle était habillé humblement mais fut doté d'une beauté naturelle tout à fait acceptable. Intrigué par cette drôle d'apparence, le vieillard fit arrêter le chariot quand celui-ci s'approcha de Risabella. Les deux gardes jetaient à leur tour leurs regards sur la jeune femme. Que faisait-elle toute seule sur la route en direction d'Ecensor ? Ne connaissait-elle pas les dangers qui guettent dans ces bois au voyageur trop imprudent ? La défaite de Sinnik n'avait pas rendue la région plus sûre. Au contraire, les brigands et voyous de toute nation s'amassaient dans ces lieux pour voler les plus imprudents des voyageurs. Le conducteur de chariot demanda alors à la jeune voyageuse.

« Que faites-vous toute seule sur la route, jeune demoiselle ? Ne savez-vous pas que ces route sont dangereuses pour un voyageur solitaire surtout pour une femme de votre âge et votre douceur ? »



Dernière édition par Taro d'Areksburg le Jeu 13 Sep - 18:06, édité 1 fois

Risabella


Villageois

J’arrivai au niveau des hommes armé, posté sur leur chevaux, les fessant paraitre immense. Je n’avais jamais vu ces armoiries…je n’en avais jamais vu du tout. Mon pauvre village était si éloigner d’ici que, le plus souvent, les seuls cavalier que l’on voyait passer était des renégats fuyard ou quelque soldats de passage.

Les armes que portaient les hommes à cheval me mentirent sur mes gardes. Je ne supporte pas de voir des lames trop proches de moi. Surtout celle en acier, celle qui brillait d’une lueur métallique et froide.
Non pas que j’en ai peur, des lames…j’en porte une sous mon manteau : un couteau de chasse, la poigné orné d’une petite pierre précieuse, un rubis, seul chose que m’est légué ma mère.
Je savais m’en servir, mais je n’aimais pas cela.

Je remarquai alors le vieillard, celui qui conduisait les chevaux qui tiraient le chariot. Celui-ci s’adressa à moi de façon courtoise :

« Que faites-vous toute seule sur la route, jeune demoiselle ? Ne savez-vous pas que ces routes sont dangereuses pour un voyageur solitaire surtout pour une femme de votre âge et votre douceur ? »

Ce vieil homme prévenant ne me semblait pas suffisant suspect pour être l’un de ces malfrats que j’avais croisé plutôt. Heureusement que je savais courir vite, sinon, j’aurais eus de grave soucis.
Légèrement, je relevai la tête, puis m’exprima de ma douce voix :

« Je viens de loin, je ne connais pas très bien le comté. On m’a dit que cette route était la plus rapide pour rejoindre Ecensor, alors je l’ai prise sans grande hésitation.
Cette route conduit bien à Ecensor, n’es-ce pas ?? »

Mon petit sac sur mon dos commençait à me peser lourd. Je le retirai de mon épaule et le posa à terre. Légèrement ouvert sur les côtés, on pouvait voir dépasser les quelques livres de chansons et de poésies que je trimballais avec moi. Regardant mes interlocuteurs, j'anticipa la question de pourquoi une jeune fille comme moi se trimbalais des livres avec elle:

« Je suis chanteuse itinérante… Vous ne connaitriez pas un certain Jacinto par hasard ?? Il habite là où je dois me rendre.»

Areksar

Areksar
Admin

Les deux soldats, intrigués et surpris par cette drôle de jeune femme, restèrent sur leurs places. Il ne faisait aucun doute que la jeune demoiselle devant eux ne représentait pas un danger ou une menace. Le vieux conducteur descendit lentement du chariot pour s'établir sur la route pavée en face de Risabelle. Il remarquait quand elle posait son sac à dos les livres de poésie qui prouvait que sans aucun doute, elle disait vrai sur sa façon de gagner sa vie. Le vieil homme savait que la route vers Ecensor ne fut pas sûr pour une jeune demoiselle, raison pourquoi il lui adressa la suivante invitation.

« Très chère mademoiselle, sachez que ceci est bel et bien la route vers Ecensor mais elle est périlleuse en cette saison et le bras armé de notre roi est plus faible que jamais. Je vous propose de vous emmener avec moi vers la cité. Vous pourrez vous asseoir à mes côtés sur le chariot profitant du confort du voyage assit. Votre sac à dos, je vous propose de le mettre à l'arrière du chariot. »

Néanmoins le vieillard était intrigué par le but du voyage de la jeune femme. Pourquoi vouloir rejoindre Jacinto ? Et parlait-elle bien du Duc ? Elle ne semblait pas être une de ces femmes légères qui cherchait à plaire le Duc... Une nouvelle chanteuse pour la cour ? Pourquoi pas mais pourquoi donc le Duc n'avait-il pas envoyé de gardes pour protéger cet enfant ? Le vieux conducteur caressa sa barbe grisâtre pendant qu'il réfléchissait aux motifs de la jeune femme. Ne trouvant point de conclusion satisfaisante, il lui demanda alors.

« Permettez-moi avant que vous montez dans le chariot de vous demander la raison qui vous pousse à vouloir rejoindre le Duc d'Ecensor ? Etes-vous à la recherche d'un emploi ou est-ce que vous poursuivez un autre but ? »

Risabella


Villageois

Je vis le vieil homme descendre du haut de son chariot, avec la fluidité que son grand âge semblait lui permettre. Il se posta devant moi, me regardant remettre mon sac sur mon dos. Il m’adressa une invitation qui franchement m’arrangeait beaucoup. J’avais mal au pied, et mon sac était trop lourd à mon goût.

« Ce serais avec plaisir que je ferais route avec vous, cela fait presque 5h que je marche, et je dois vous avouez que la fatigue me gagne un peu. »

Le vieil homme avait l’air préoccupé. J’inclinai légèrement la tête sur le côté, ne comprenant pas vraiment ce qui pouvait inquiétez le vieux.
Etait-ce le fait d’avoir évoqué le nom de Jacinto qui le fessait tant réfléchir ?? S’aille ai, je me fessais des scénarios étrange dans ma tête, avec le vieux me racontant que Jacinto était le chef de mercenaire barbare que sévissait dans tous le Royaume et qui était activement recherché par la garde royale… Hahahaah, qu’es ce que mon imagination était débordante parfois.

J’espérais franchement que ce ne soit que mon imagination :

« Permettez-moi avant que vous montez dans le chariot de vous demander la raison qui vous pousse à vouloir rejoindre le Duc d'Ecensor ? Etes-vous à la recherche d'un emploi ou est-ce que vous poursuivez un autre but ? »

La réflexion du vieux monsieur me laissa coïte…il avait dit…DUC !!!! Mais ce n’est pas possible, on ne devait pas parler du même « Jacinto » !!!
En état de choc, je bredouillai quelque mot ne voulant rien dire.

Je me ressaisis d’un coup et me résuma la situation…. Ma mère et morte, me disant que j’avais un frère nommé Jacinto…et se sous-entendu frère serait duc d’Ecenor….

Je respirai à fond. La situation était plus compliquée que prévue, apparemment. Surtout que je n’allait pas crier sur tous les toits que j'était, hypothétiquement, la sœur du duc.
Un petit mensonge n’allait pas ne tuer. En bonne comédienne, je m'exprimai sans fausse note, ne laissant rien paraître:

« Un voyageur est passer par mon village il y a quelque temps, et en voyant mes talents de chanteuse m’a dit que je devrais me présenté à un dénommé Jacinto, pour trouver un emplois mieux rémunéré que celui de servante.
J’ignorais que Jacinto était le duc, je n’ai pas pris le temps de me renseigner avant de venir jusqu’ici, on ne croise pas grand monde sur les routes. »

J’esquissai un léger sourire aux lèvres. Je n’aimais pas vraiment mentir, mais bon, quand situation oblige.

Areksar

Areksar
Admin

Le vieillard était heureux d'entendre que la jeune fille était prête à monter sur le chariot. Il n'aurait pas pu continuer en sachant cette demoiselle toute seule sur une route dangereuse. Un sourire bon père apparu sur son visage. Il tendit alors la main à la jeune fille et l'aida à monter sur le banc en bois du chariot. Il mit ensuite le sac à dos en arrière pour ensuite monter à son tour sur le chariot et s'asseoir à côté de la fille. Il donna un coup de fouet dans l'air à fin de remettre en marche les chevaux. Ceux-ci reprenait leur rythme tirant le chariot en avant en soupirant. Ils avaient prit goût à la pause et lâchaient quelques muettes protestations et une mauvaise volonté. Les deux soldats accompagnaient le chariot aux côtés, le regard fixé sur les bords de la route, prêt à prendre de charge des brigands et voyous trop audacieux. Mais par chance aucun malfrat osa sortir des bois pour perturber le voyage de ces honnêtes gens. Le vieillard curieux de savoir plus sur cette jeune fille et surtout ambitieux de ne pas passer le voyage dans le silence, entama de faire la conversation.

« Je dois dire qu'on vous a donné un étrange conseil d'aller vous engager auprès du Duc d'Ecensor. Je suis pour ma part ignorant si le seigneur Jacinto aime les chansons. Je sais que mon maître, le Duc de Frilanka ne refuse pas une bonne chansons mais je peux rien dire sur les goûts du Duc d'Ecensor. Mais c'est un homme riche et surtout membre de la Maison des Torons. Il ne devrait pas avoir de peine de vous rémunérer pour vos talents. Après, à savoir s'il est en ville. Selon des dires il serait entra de surveiller la construction de la nouvelle cathédrale mais rien lui empêche d'être allé faire une visite au roi à Epinedor. A ce sujet, ne soyez pas choqué par le nombre d'églises. Il en a dans cette ville plus que de rats. »

Le Soleil commença de descendre. Le bleu céleste se fit moins pur. Le conducteur accéléra le rythme de voyage sentant la nuit approcher. Tous savaient qu'il ne fallait pas être dehors quand la nuit fut tombée. C'est le moment ou les monstres les plus vils sortaient de leurs trous prêts à tuer les innocents citoyens. Dans les villes on pouvait se promener sans soucis dans les rues. La luminosité fut telle qu'on disait que jour ou nuit, à Ecensor la luminosité restait la même. En dehors des enceintes, seuls les courageux chevaliers passaient la nuit à chasser les monstres.

Après quelques heures de voyage, la ville d'Ecensor apparue enfin. De loin on pouvait voir le dôme de la Basilique Saint-Patrick, les tours de la cathédrale Saint Ecensor et de la nouvelle cathédrale. Les gens s'amassaient sur la route en direction de la porte Nord. Face au flux de gens, le vieillard pouvait que dire.


« Eh ben, il y a un sacré monde aujourd'hui, n'est-ce pas demoiselle? Malheureusement la ville est toujours aussi peuplée et la place manque. Même le Polgrom des Kikoos n'a pas su résoudre la situation durablement. Au moins nous avons maintenant une jolie nouvelle patinoire. »

Le vieillard lâche un rire. Il demanda ensuite.

« Ou puisse-vous déposer ? Si vous voulez, je vous laisse aux portes du palais du Duc. Peut être que lui ou son chancelier s'y trouvent. »

Risabella


Villageois

Arrivant enfin, j’eu comme un choc : cette immense ville, ces immense bâtiment…tous ce peuples !! J’étais vraiment loin de ma petite bourgade de campagne.
D’immense église et cathédrale, semblant touché le ciel, déplaçais au loin. Tout le peuple qui s’agglutinait de ça, de là, essayant de passer au milieu de cette mer de foule, je n’en croyais pas mes jeunes yeux.
Mais où étais-je tombé ?? Maman, tu dois bien rire de moi là où tu es. J’étais tellement interloquer que les paroles du charmant vieil homme me parvinrent en écho. J’étais bien trop occupé à me perdre dans le paysage pour les comprendre.
Le soleil tombant fessait miroité ses rayon contre les palissades des immenses bâtiments, fessant aussi ressortir le magnifique éclat des vitraux multicolores.

Lorsque le vieil homme me demanda où me déposé, je réfléchie un instant. Je devais absolument voir mon frère…enfin, mon « hypothétique » frère le Duc.
Me conseillant de me rendre aux portes du palais du Duc, j’esquissai d’un mouvement de tête positif.

Nous traversâmes ainsi la ville, postée sur notre chariot, nous frayant un chemin au milieu de la foule. Ce n’était pas facile d’avancer…c’était même très lent.
Je commençais à m’ennuyer un peu, là, posé sur le chariot. Je fermis les yeux et demanda doucement :

« Messire, je n’ai aucune richesse pour vous remercier de votre bonté. M’accorderiez-vous de vous chanter une de des chansons de ma ville natale pour vous remercier ?? »

Je n’attendis pas sa réponse que je commençais déjà à fredonner un air que j’avais tant de fois chanté :

Spoiler:

Ma mélodieuse voix résonnait contre les murs des grands bâtiments. J’aimais tant chanter que je ne me rendais même pas compte. Et avant même que je le remarque, la populace autour du chariot c’était retourner et m’écoutait chanté. Toute la populace écoutait ma douce et belle voix qui surplombait l’immense rue de sa portée.

Lorsque j’eus finis, j’entendis des applaudissements fusé de partout, je rouvris brutalement les yeux et je vis la foule autour du moi applaudir.
Sur le coup, je n’ai pas vraiment compris. Morte de honte devant autant de gens, je baissa la tête, ne voulant pas voir toute cette foule.

Spoiler:

Areksar

Areksar
Admin

C'était sur la grande place devant le Palais du Duc que le chariot arriva. Juste en face de la porte de la demeure ducale. Mais ils étaient pas seuls. Suite au chant de Risabella, une grande foule s'était rassemblée autour du chariot pour écouter le chant de la douce jeune fille. Il avait parmi la foule des gens de tout âge, d'enfant à vieillard qui tous s'étaient arrêtés un moment pour écouter le chant. C'était bien un événement rare à voir dans cette ville de toutes les activités et habitée par des gens toujours pressés. Le vieillard écoutait le chant de la jeune et applaudit à son tour quand elle termina. C'est alors qu'il vit au loin une femme portant une longue robe bleu foncée entouré par trois gardes avec sur leur poitrine le blason de la famille d'Areksburg. La femme en question était la Dame Reya de Redfort, sœur du Duc du Frilanka. Il était évident à voir son regard qu'elle n’appréciait pas cette foule qui se rassemblait autour du chariot. Il avait trop de monde et potentiellement des voleurs dans le coin voulant dérober la cargaison du chariot. Le conducteur du chariot savait qu'il valait mieux qu'il parte. Il descendit alors du chariot et sortit le sac à dos de Risabella de l'arrière du chariot pour le tendre à la jeune fille avec les mots.

« Très chère demoiselle, je vous remercie pour votre chant qui est un paiement plus riche que vous m'auriez pu faire avec tout l'or du royaume. Malheureusement c'est ici que nos chemins se séparent car je dois conduire ce chariot au port. Le Duc n'est pas un homme patient, comme tous les membres de sa famille. »

Ceci fait, il remonta sur le chariot et en faisant un dernier salut à Risabella tourna le chariot pour avancer en direction de la forteresse Areksburg pour depuis là rejoindre le port. La Dame Reya disparu pour sa part. Elle devait avoir rejoint sa maison de ville dans la cité. Risabella resta donc entourée d'une foule hypnotisée face à la porte de la demeure de son frère.

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum