Je ne connaissais pas mon vrai nom. Je ne n'était qu’une enfant, perdu dans un monde de grand. J’ai toujours vécu loin des autres, loin des gens.
Je gagnais ma vie en chantant et dansant, comme les bohémiens avec qui parfois je partageais mon pain.
J’ai grandis isoler, dans cette petite ferme qui me servais de maison. Je n’avais pas de père, je n’avais qu’une mère.
Elle m’avait dit que celui-ci était mort, je l’ai cru.
Dans mes jeunes années, j’étais une petite enfant ignorant la dur labeur et le travail. Ma mère chassait et moi, j’allais danser au village, récoltant quelque pièce, de quoi faire un repas. Beaucoup m’appréciait, et parfois me demandait d’être leur amie.
Mais lorsqu’ils me demandaient mon prénom, je ne leur répondais rien, je n’en avais pas.
J’étais la danseuse sans nom, la chanteuse sans titre.
Aux alentours de mes huit ans, une enfant du village était venue me voir, un sourire aux lèvres, un livre sous le bras.
Je ne savais pas lire, elle me l’a appris.
Ce conte racontait l’histoire d’une poupée, sortit d’une boîte à musique, qui cherchait à devenir humaine. Son nom, à cette pauvre poupée, c’était Risabella.
Cette jeune fille me nomma ainsi, fessant de moi un être vivant à part entière. Risabella, c’était devenu mon nom.
Les enfants du village m’appelaient ainsi :
« Risabella, la danseuse à la belle voix ».
Ce titre me plaisait, et me correspondait tant. Cette poupée me ressemblait : Elle aussi avait de long cheveux roux, lui descendant jusqu’aux hanches. Elle aussi avait les yeux turquoise, comme les miens.
On me connut sous ce nom durant toute ma tendre enfance, j’ai toujours aimé ce village.
A mes 15 ans, ma mère me donna un nouveau travail, plus dur qu’auparavant. J’étais devenu domestique dans la maison d’un riche marchand. Je chantais lors de ses réceptions, je préparais à manger lors de ses banquets.
J’étais bien payé, et ma mère, devenu trop vielle pour chasser, était obliger de resté à la maison, attendant que je ramène de quoi manger.
J’ai maintenant 20 ans…et ma mère est morte, il y a un mois. L’hiver trop rude avait eu raison d’elle… J’en avais parfois les larmes aux yeux.
Sur son lit de mort, ma pauvre mère m’avait confié un secret : j’avais un frère, et il était toujours en vie. Elle m’avait dit qu’il vivait dans un endroit appeler Ecensor, et que son nom…c’était Jacinto...si mes souvenirs étaient exactes. Elle ne m’a rien dit de plus, sauf que je pourrais toujours essayer de le rencontrer.
J’avais quitté la maison, il y a de cela 1 mois, et je me trouvais enfin à l’entrée du domaine d’Encensor.
Au loin, quelque silhouette se dessinait. Intimidée, j’avançai en baissant la tête, me fessant très petite, pour ne pas qu’on me remarque. Malheureusement, je m’étais déjà faite repéré….
Je gagnais ma vie en chantant et dansant, comme les bohémiens avec qui parfois je partageais mon pain.
J’ai grandis isoler, dans cette petite ferme qui me servais de maison. Je n’avais pas de père, je n’avais qu’une mère.
Elle m’avait dit que celui-ci était mort, je l’ai cru.
Dans mes jeunes années, j’étais une petite enfant ignorant la dur labeur et le travail. Ma mère chassait et moi, j’allais danser au village, récoltant quelque pièce, de quoi faire un repas. Beaucoup m’appréciait, et parfois me demandait d’être leur amie.
Mais lorsqu’ils me demandaient mon prénom, je ne leur répondais rien, je n’en avais pas.
J’étais la danseuse sans nom, la chanteuse sans titre.
Aux alentours de mes huit ans, une enfant du village était venue me voir, un sourire aux lèvres, un livre sous le bras.
Je ne savais pas lire, elle me l’a appris.
Ce conte racontait l’histoire d’une poupée, sortit d’une boîte à musique, qui cherchait à devenir humaine. Son nom, à cette pauvre poupée, c’était Risabella.
Cette jeune fille me nomma ainsi, fessant de moi un être vivant à part entière. Risabella, c’était devenu mon nom.
Les enfants du village m’appelaient ainsi :
« Risabella, la danseuse à la belle voix ».
Ce titre me plaisait, et me correspondait tant. Cette poupée me ressemblait : Elle aussi avait de long cheveux roux, lui descendant jusqu’aux hanches. Elle aussi avait les yeux turquoise, comme les miens.
On me connut sous ce nom durant toute ma tendre enfance, j’ai toujours aimé ce village.
A mes 15 ans, ma mère me donna un nouveau travail, plus dur qu’auparavant. J’étais devenu domestique dans la maison d’un riche marchand. Je chantais lors de ses réceptions, je préparais à manger lors de ses banquets.
J’étais bien payé, et ma mère, devenu trop vielle pour chasser, était obliger de resté à la maison, attendant que je ramène de quoi manger.
J’ai maintenant 20 ans…et ma mère est morte, il y a un mois. L’hiver trop rude avait eu raison d’elle… J’en avais parfois les larmes aux yeux.
Sur son lit de mort, ma pauvre mère m’avait confié un secret : j’avais un frère, et il était toujours en vie. Elle m’avait dit qu’il vivait dans un endroit appeler Ecensor, et que son nom…c’était Jacinto...si mes souvenirs étaient exactes. Elle ne m’a rien dit de plus, sauf que je pourrais toujours essayer de le rencontrer.
J’avais quitté la maison, il y a de cela 1 mois, et je me trouvais enfin à l’entrée du domaine d’Encensor.
Au loin, quelque silhouette se dessinait. Intimidée, j’avançai en baissant la tête, me fessant très petite, pour ne pas qu’on me remarque. Malheureusement, je m’étais déjà faite repéré….