Des vents glaciales soufflent sur le Frilanka apportant glace et neige sur ses terres. Alors que les gens d'Ecensor et Epinedor profitent du printemps éternel, l'hiver règne au Frilanka en maitre absolu. Le froid est des fois interrompu par un Soleil arrivant à peine à fondre la neige entassée sur ces terres. Les loups guettent dans ces terres, gueules grandes ouvertes, à la recherche d'une proie aisée. Les dieux eux-même semblent craindre une terre qui n'a pas de place pour les faibles. Une terre de froid et de vent. Une terre mystique découverte cent ans auparavant par Timon le Vaillant.
Les cent ans passés ont transformés Elandora. Des villes puissantes ont transformés des vallées et régions vallonnées en cités. Ou jadis se trouvait un lac, gît maintenant une villa luxueuse. Les montagnes libres pendant des millénaires doivent maintenant porter le poids des palais des puissants seigneurs. Seulement au Frilanka les derniers vent ans ont apporté que des rares changements. Les tentatives les plus audacieuses pour coloniser cette terre hostile se sont avérés pour la plus part infructueuses. Les projets monumentaux du roi Eckwan Ier ont disparu sous la force du vent et du temps. Le manoir de Timon est resté inachevé, un des rares édifices ayant su résister sur le long terme. Les seuls gens ayant su vivre sur ces terres de manière durable sont ceux qu'y sont nés. Leçon pour l'avenir : on ne dompte pas le Frilanka, c'est le Frilanka qui vous dompte.
Après le départ de Timon, un nouveau chapitre commença. Le manoir resta un chantier-ruine et le territoire passa en main du roi Eckwan Ier qui sur son lit de mort concéda ses terres à la famille d'Areksburg. Norakar fut le premier à venir sur ses terres et se contenta de vivre dans le manoir de Timon. C'est Merokar son fils qui entama de construire un château sur l'Ile des Loups situé plus au Sud. Ce ne fut pas une forteresse comme l'Areksburg ni un palais comme celui du roi à Epinedor mais un château visant à assurer à ses habitants un minimum de confort. Le château n'avait pas de rempart, à quoi bon quand un lac de glace assure la mort d'une armée trop audacieuse et qui viendrait chercher les loups dans leur tannière ? Tous ses fiers ducs n'avaient jamais su se sentir à l'aise dans ses terres glacées. Ils restaient au fond d'eux des gens d'Ecensor fuyant le froid du Frilanka pour les fêtes dans la capitale. Ils furent repoussés par le Frilanka comme des vils étrangers. Ceci changea avec la naissance de Taro, arrière-petit-fils d'Areksar.
Taro avait aujourd'hui vingt-six ans et était depuis une année Duc du Frilanka. Quelqu'un qui aurait vu de son vivant Areksar n'aurait jamais pu s'imaginer que Taro était un descendant d'Areksar. Comme cent ans peuvent changer les choses...voir comment le Frilanka élève ses enfants. Si Areksar fut connu pour être l'architecte passionné, Taro était un homme du Frilanka de pure souche. Né dans le vent et la glace, Taro était un jeune homme actif, froid et dur. Il passait le plus clair de son temps à s’entraîner aux armes, chasser et bien évidemment gérer son domaine composé de glace et d'hommes à toutes épreuves. On disait qu'il était un maître dur mais juste. Les paysans payaient leurs impôts et les prêtres n'osaient jamais mentionner le duc dans leurs sermons. La paix régnait au Frilanka par la force de l'autorité. Ceux qui osent défier son autorité finissaient avec de la stonebrick aux pieds au fond du lac de glace. Il est clair que cette perspective était peu séduisante. C'est ainsi que les comploteurs préférait émigrer vers Epinedor, une terre bien plus accueillante pour leur genre.
Le jeune Duc du Frilanka n'était pas sans ambition. Tous savaient que le duc avaient un regard attentif sur les terres entre le Frilanka et Epinedor. Certains disaient même que le Duc du Frilanka envisageait de profiter du flou des frontières en sa faveur. Actuellement le roi fut faible, très faible et ceci était un fait que le duc avait bien l'intention d'en profiter. Il était peut être pas le seul duc à penser ainsi. Taro n'aimait pas les gens d'Epinedor. S'il détenait un certain respect pour Ecensor, berceau de sa famille, il partageait l'avis de ses sujets sur Epinedor. Ses habitants étaient décadents et effémines. Ils avaient oubliés l'art de guerroyer et préférer poursuivre des chantiers monumentaux interminables sans sens. Ils n'avaient même pas de remparts ! Alors que le froid et l'eau protégeait le Frilanka, la ville d'Epinedor était là, vulnérable avec sa richesse. Il semblait clair que l'ambition du Duc du Frilanka se tournera en direction d'Epinedor.
Les cent ans passés ont transformés Elandora. Des villes puissantes ont transformés des vallées et régions vallonnées en cités. Ou jadis se trouvait un lac, gît maintenant une villa luxueuse. Les montagnes libres pendant des millénaires doivent maintenant porter le poids des palais des puissants seigneurs. Seulement au Frilanka les derniers vent ans ont apporté que des rares changements. Les tentatives les plus audacieuses pour coloniser cette terre hostile se sont avérés pour la plus part infructueuses. Les projets monumentaux du roi Eckwan Ier ont disparu sous la force du vent et du temps. Le manoir de Timon est resté inachevé, un des rares édifices ayant su résister sur le long terme. Les seuls gens ayant su vivre sur ces terres de manière durable sont ceux qu'y sont nés. Leçon pour l'avenir : on ne dompte pas le Frilanka, c'est le Frilanka qui vous dompte.
Après le départ de Timon, un nouveau chapitre commença. Le manoir resta un chantier-ruine et le territoire passa en main du roi Eckwan Ier qui sur son lit de mort concéda ses terres à la famille d'Areksburg. Norakar fut le premier à venir sur ses terres et se contenta de vivre dans le manoir de Timon. C'est Merokar son fils qui entama de construire un château sur l'Ile des Loups situé plus au Sud. Ce ne fut pas une forteresse comme l'Areksburg ni un palais comme celui du roi à Epinedor mais un château visant à assurer à ses habitants un minimum de confort. Le château n'avait pas de rempart, à quoi bon quand un lac de glace assure la mort d'une armée trop audacieuse et qui viendrait chercher les loups dans leur tannière ? Tous ses fiers ducs n'avaient jamais su se sentir à l'aise dans ses terres glacées. Ils restaient au fond d'eux des gens d'Ecensor fuyant le froid du Frilanka pour les fêtes dans la capitale. Ils furent repoussés par le Frilanka comme des vils étrangers. Ceci changea avec la naissance de Taro, arrière-petit-fils d'Areksar.
Taro avait aujourd'hui vingt-six ans et était depuis une année Duc du Frilanka. Quelqu'un qui aurait vu de son vivant Areksar n'aurait jamais pu s'imaginer que Taro était un descendant d'Areksar. Comme cent ans peuvent changer les choses...voir comment le Frilanka élève ses enfants. Si Areksar fut connu pour être l'architecte passionné, Taro était un homme du Frilanka de pure souche. Né dans le vent et la glace, Taro était un jeune homme actif, froid et dur. Il passait le plus clair de son temps à s’entraîner aux armes, chasser et bien évidemment gérer son domaine composé de glace et d'hommes à toutes épreuves. On disait qu'il était un maître dur mais juste. Les paysans payaient leurs impôts et les prêtres n'osaient jamais mentionner le duc dans leurs sermons. La paix régnait au Frilanka par la force de l'autorité. Ceux qui osent défier son autorité finissaient avec de la stonebrick aux pieds au fond du lac de glace. Il est clair que cette perspective était peu séduisante. C'est ainsi que les comploteurs préférait émigrer vers Epinedor, une terre bien plus accueillante pour leur genre.
Le jeune Duc du Frilanka n'était pas sans ambition. Tous savaient que le duc avaient un regard attentif sur les terres entre le Frilanka et Epinedor. Certains disaient même que le Duc du Frilanka envisageait de profiter du flou des frontières en sa faveur. Actuellement le roi fut faible, très faible et ceci était un fait que le duc avait bien l'intention d'en profiter. Il était peut être pas le seul duc à penser ainsi. Taro n'aimait pas les gens d'Epinedor. S'il détenait un certain respect pour Ecensor, berceau de sa famille, il partageait l'avis de ses sujets sur Epinedor. Ses habitants étaient décadents et effémines. Ils avaient oubliés l'art de guerroyer et préférer poursuivre des chantiers monumentaux interminables sans sens. Ils n'avaient même pas de remparts ! Alors que le froid et l'eau protégeait le Frilanka, la ville d'Epinedor était là, vulnérable avec sa richesse. Il semblait clair que l'ambition du Duc du Frilanka se tournera en direction d'Epinedor.