Des siècles s'étaient écoulés depuis la chute de l'ancienne Elandora. Des siècles ou les ruines d'Ecensor, Epinedor et Cya avaient été envahies par les algues et offraient leurs monuments comme refuge aux créatures de l'océan. Le silence régnait dans les anciens centres dévastés du Royaume de Marodia. Les trônes et palais étaient vides et que rarement visité par quelques poissons. Les drapeaux avaient disparus et que quelques blasons taillés dans la pierre pouvait témoigner de l'existence des grandes familles. En somme, il en restait presque rien de deux siècles de travail humain.
Loin étaient les jours de gloire et de civilisation. Après deux siècles de progrès et de prospérité Elandora avait été anéantie par un cataclysme sans précèdent. La terre s'étaient ouverte et des tsunamis avaient noyés la plus grande partie du royaume. Des milliers de vies avaient été annihilés en quelques heures et qu'une poignée d'humains avaient pu se réfugier sur des navires pour échapper au désastre. Les rares survivants mourraient soit de soif sur la nouvelle mer soit arrivaient à rejoindre les côtes des continents voisins plus mal que bien. Ceux qui atteignaient les côtes étrangères tentaient tant mal que bien de survivre. Ils étaient tous remplis de nostalgie et condamnés à une vie sauvage. Aujourd'hui, des nombreuses générations après le désastre, personne connaît le nom de Marodia. Ses puissants rois ont tous été oubliés et les humains vivent dans un état de sauvagerie permanente. C'est un monde sans mémoire qui s'ouvre à cette nouvelle génération, un monde à forger et dompter pour peut être un jour recréer une forme de civilisation. Est-ce que dans ce brasier de barbarie pourra émerger l'étincelle de la civilisation ?
Des siècles après la chute d'Elandora, c'est sur la colline de Castellon qu'une tribu de barbares s'est récemment établi. Ces barbares viennent de l'Est, là ou le Soleil se lève, plus exactement de la Plaine des Vaches. Ils sont les lointains descendants de quelques réfugier elandorais mais rien ne pourrait permettre de deviner ce lointain origine. Les barbares ont la peau cuivrée et les cheveux noirs. Le plus souvent sur dos de cheval, ils sont accompagnés par des hordes d'esclaves qu'ils utilisent pour tous les grands chantiers car en ce siècle de barbarie, le salariat n'a aucun sens et c'est l'exploitation de l'homme par l'homme qui fait la fortune des nations.
Les barbares sont guidés par un chef, un dénommé Areksar dont on connait que mal son caractère et ses ambitions. Animé par les chamans de la tribu qui prédisent à la tribu un avenir radieux sur la colline de Castellon, les barbares ont commencés par non seulement prendre possession de la colline mais aussi ériger des premiers édifices. Au contraire des autres sauvages de la région, la tribu d'Areksar se distingue par le fait d’utiliser en grande quantité des briques de pierre. Les toits de leurs édifices sont le plus souvent en bois. Incomparable aux palais des anciens temps, ces édifices semblent plus résistantes que les maisons en bois que les sauvages ont l'habitude de construire.
La tribu d'Areksar s'est installée dans la région, quelle sera son rôle dans ce grand spectacle qui s'ouvre désormais ? Seulement les dieux le savent.
Loin étaient les jours de gloire et de civilisation. Après deux siècles de progrès et de prospérité Elandora avait été anéantie par un cataclysme sans précèdent. La terre s'étaient ouverte et des tsunamis avaient noyés la plus grande partie du royaume. Des milliers de vies avaient été annihilés en quelques heures et qu'une poignée d'humains avaient pu se réfugier sur des navires pour échapper au désastre. Les rares survivants mourraient soit de soif sur la nouvelle mer soit arrivaient à rejoindre les côtes des continents voisins plus mal que bien. Ceux qui atteignaient les côtes étrangères tentaient tant mal que bien de survivre. Ils étaient tous remplis de nostalgie et condamnés à une vie sauvage. Aujourd'hui, des nombreuses générations après le désastre, personne connaît le nom de Marodia. Ses puissants rois ont tous été oubliés et les humains vivent dans un état de sauvagerie permanente. C'est un monde sans mémoire qui s'ouvre à cette nouvelle génération, un monde à forger et dompter pour peut être un jour recréer une forme de civilisation. Est-ce que dans ce brasier de barbarie pourra émerger l'étincelle de la civilisation ?
Des siècles après la chute d'Elandora, c'est sur la colline de Castellon qu'une tribu de barbares s'est récemment établi. Ces barbares viennent de l'Est, là ou le Soleil se lève, plus exactement de la Plaine des Vaches. Ils sont les lointains descendants de quelques réfugier elandorais mais rien ne pourrait permettre de deviner ce lointain origine. Les barbares ont la peau cuivrée et les cheveux noirs. Le plus souvent sur dos de cheval, ils sont accompagnés par des hordes d'esclaves qu'ils utilisent pour tous les grands chantiers car en ce siècle de barbarie, le salariat n'a aucun sens et c'est l'exploitation de l'homme par l'homme qui fait la fortune des nations.
Les barbares sont guidés par un chef, un dénommé Areksar dont on connait que mal son caractère et ses ambitions. Animé par les chamans de la tribu qui prédisent à la tribu un avenir radieux sur la colline de Castellon, les barbares ont commencés par non seulement prendre possession de la colline mais aussi ériger des premiers édifices. Au contraire des autres sauvages de la région, la tribu d'Areksar se distingue par le fait d’utiliser en grande quantité des briques de pierre. Les toits de leurs édifices sont le plus souvent en bois. Incomparable aux palais des anciens temps, ces édifices semblent plus résistantes que les maisons en bois que les sauvages ont l'habitude de construire.
La tribu d'Areksar s'est installée dans la région, quelle sera son rôle dans ce grand spectacle qui s'ouvre désormais ? Seulement les dieux le savent.
