Ambiance utilisée pour écrire le RP
Le soleil de midi réchauffait de ses rayons la cité de Sharagon, capitale du Duché éponyme. Dans la cité la vie battait son plein. Les marchands négociaient sur le marché de la fontaine des marchandises provenant des quatre coins du monde, du blé des plaines de Céloutata aux des chevaux de Marodia tout trouvait preneur. Les femmes venaient accompagnés de leurs filles chercher l'eau dans les nombreux canaux qui parcouraient la cité tels autant de veines apportant la vie, certaines, les plus courageuses faisaient le trajet jusqu'à la fontaine qui prenait place au centre du marché afin de profiter de cette eau considérée comme la plus pure, légende peut-être entretenue par la participation du Duc Lirel Toron et de son frère Jacinto à sa construction. Des masses d'ouvriers vaquaient également à leurs travaux : voiries, canaux, aménagement des espaces de verdure, construction d'édifices... La ville était en plein essor. Cette expansion rapide était largement financée par les caisses ducales lesquelles puisaient déjà largement dans les réserves d'or et de fer afin de maintenir l'effort économique. Depuis l'indépendance du Duché beaucoup d'eau avait coulé sous les ponts. En bientôt deux ans la face même du monde avait changée. Comme Lirel l'avait prédit Marodia avait connu la guerre civile et de nombreuses destructions. L'usurpateur Claw avait fini par être chassé de Nouvel Ecensor par Eckwan II qui reprit ainsi sa couronne. Claw avait conservé Céloutata où il avait réussi à refonder l'Empire Rakatas autour d'un cercle fanatique. C'est ainsi que le "vieil Elandora" avait évolué, loin des nouvelles nations telles que Trykomine ou Keiron; La seule nation en expansion au sein du vieil Elandora était Sharagon, Marodia et Rakatas, dans un but de retrouver un ordre urbain faisaient le ménage, et détruisaient au lieu de construire.
Mais le Duc avait décidé d'effacer le passé républicain. La République avait été un échec, qu'il en soit ainsi. Il avait décidé d'inviter Eckwan II, Roi de Marodia et Claw I, Empereur de Rakatas à Sharagon. Le vieil Elandora devait soit surpasser ses tensions et réussir à bâtir une entente soit bientôt retrouver les feux de la destruction et de la mort. La proximité des trois ne pourrait pas durer éternellement dans l'ignorance, cet état de fait ne pouvait durer que pendant que chacun serait trop occupé au sein de sa nation. C'est dans l'optique de bâtir cette entente basée sur la coopération que Lirel Toron avait invité les deux dirigeants à venir à Sharagon. Non seulement il espérait que les deux hommes seraient assez malins pour comprendre l'intérêt d'une telle entente, mais que l'exemple de la réussite sharagonaise participerait à leur donner une impression de puissance.
Il était près de midi, la seule de porte de la muraille Est de Sharagon était grande ouverte, à l'extérieur plus de cent cinquante gardes ducaux formaient trois croix marodiannes, au centre de chacune se trouvait un porte-drapeau qui portait un mât de deux mètres cinquante au bout duquel flottait le drapeau sharagonais : une croix marodianne rouge centrée sur fond jaune. À l'avant des trois formations militaires s'avançait le Duc Toron sur son cheval marodian d'un blanc pur. Cheval que le Duc n'avait pas qu'acheté pour sa beauté, c'était un cheval aussi prompt à parader qu'à aller sur un champ de bataille, mais l'heure n'était pas à cela. Deux conseillers ducaux entouraient le Duc sur deux hongres peu élancés. Lirel regrettait que Jacinto ne soit pas là, il était très occupé à diriger sur place les travaux mais peut-être qu'il les rejoindrait au Palais.
Plusieurs dizaines de minutes passèrent, puis à l'Est dans les désert une grande levée de sable indiqua l'approche de nombreux cavaliers. Ce ne pouvaient qu'être les dirigeants attendus.
Le soleil de midi réchauffait de ses rayons la cité de Sharagon, capitale du Duché éponyme. Dans la cité la vie battait son plein. Les marchands négociaient sur le marché de la fontaine des marchandises provenant des quatre coins du monde, du blé des plaines de Céloutata aux des chevaux de Marodia tout trouvait preneur. Les femmes venaient accompagnés de leurs filles chercher l'eau dans les nombreux canaux qui parcouraient la cité tels autant de veines apportant la vie, certaines, les plus courageuses faisaient le trajet jusqu'à la fontaine qui prenait place au centre du marché afin de profiter de cette eau considérée comme la plus pure, légende peut-être entretenue par la participation du Duc Lirel Toron et de son frère Jacinto à sa construction. Des masses d'ouvriers vaquaient également à leurs travaux : voiries, canaux, aménagement des espaces de verdure, construction d'édifices... La ville était en plein essor. Cette expansion rapide était largement financée par les caisses ducales lesquelles puisaient déjà largement dans les réserves d'or et de fer afin de maintenir l'effort économique. Depuis l'indépendance du Duché beaucoup d'eau avait coulé sous les ponts. En bientôt deux ans la face même du monde avait changée. Comme Lirel l'avait prédit Marodia avait connu la guerre civile et de nombreuses destructions. L'usurpateur Claw avait fini par être chassé de Nouvel Ecensor par Eckwan II qui reprit ainsi sa couronne. Claw avait conservé Céloutata où il avait réussi à refonder l'Empire Rakatas autour d'un cercle fanatique. C'est ainsi que le "vieil Elandora" avait évolué, loin des nouvelles nations telles que Trykomine ou Keiron; La seule nation en expansion au sein du vieil Elandora était Sharagon, Marodia et Rakatas, dans un but de retrouver un ordre urbain faisaient le ménage, et détruisaient au lieu de construire.
Mais le Duc avait décidé d'effacer le passé républicain. La République avait été un échec, qu'il en soit ainsi. Il avait décidé d'inviter Eckwan II, Roi de Marodia et Claw I, Empereur de Rakatas à Sharagon. Le vieil Elandora devait soit surpasser ses tensions et réussir à bâtir une entente soit bientôt retrouver les feux de la destruction et de la mort. La proximité des trois ne pourrait pas durer éternellement dans l'ignorance, cet état de fait ne pouvait durer que pendant que chacun serait trop occupé au sein de sa nation. C'est dans l'optique de bâtir cette entente basée sur la coopération que Lirel Toron avait invité les deux dirigeants à venir à Sharagon. Non seulement il espérait que les deux hommes seraient assez malins pour comprendre l'intérêt d'une telle entente, mais que l'exemple de la réussite sharagonaise participerait à leur donner une impression de puissance.
Il était près de midi, la seule de porte de la muraille Est de Sharagon était grande ouverte, à l'extérieur plus de cent cinquante gardes ducaux formaient trois croix marodiannes, au centre de chacune se trouvait un porte-drapeau qui portait un mât de deux mètres cinquante au bout duquel flottait le drapeau sharagonais : une croix marodianne rouge centrée sur fond jaune. À l'avant des trois formations militaires s'avançait le Duc Toron sur son cheval marodian d'un blanc pur. Cheval que le Duc n'avait pas qu'acheté pour sa beauté, c'était un cheval aussi prompt à parader qu'à aller sur un champ de bataille, mais l'heure n'était pas à cela. Deux conseillers ducaux entouraient le Duc sur deux hongres peu élancés. Lirel regrettait que Jacinto ne soit pas là, il était très occupé à diriger sur place les travaux mais peut-être qu'il les rejoindrait au Palais.
Plusieurs dizaines de minutes passèrent, puis à l'Est dans les désert une grande levée de sable indiqua l'approche de nombreux cavaliers. Ce ne pouvaient qu'être les dirigeants attendus.