Le soleil commence à se coucher sur le camp du camarde Junkov. Mais le camp reste actif et prêt à lancer l’assaut sur l’antre du mal du ce pays : la capitale de Nordrosia où se cache le roi. Timonich Junkov était assis avec ses hommes mais il ne parlait pas, soucieux du retard du camarde Lirel. Les ordres étaient pourtant clairs mais il s’obstinait à ne pas lancer cette attaque décisive sur la ville. Les soldats se tournaient alors vers leur supérieur.
-Camarade Junkov, pourquoi somme nous encore ici à attendre ? Nous sommes tous prêt et attendons vos ordres.
Timonich leva les yeux pour regarder fixement dans celui qui l’avait interrompu dans ces pensées.
-Camardes, saviez-vous pourquoi nous sommes tous ici à faire la guerre ?
Les quelques soldats se regardaient sans vraiment comprendre la question. Un homme se leva et répondit :
-C’est pour lutter contre l’oppression des nobles contre le peuple de Nordrosia.
-C’est exacte, et cette lutte a été rendu possible par des hommes comme le camarde Lirel. Alors que je n’étais qu’un prolétaire au service des bourgeois, le camarde Lirel m’a montré la voie à suivre pour lutter et abattre les assassins de mon père.
Timonich savait qu’il avait déjà raconté cette histoire mais il aimait bien la raconter.
-Je peux bien attendre que le camarde Lirel arrive pour qu’on puisse entrer tous ensemble en libérateur de la ville.
Il savait maintenant que les hommes pourront patienter encore quelques jours.
A ce moment, le camarde Benjev Charlievich arriva pour parler avec Timonich.
- Camarde, on n’a toujours pas de nouvelle de l’expédition de Breizh.
-Merci beaucoup Benjev, vous pouvez disposer.
Charlievich était toujours à côté de lui et ne bougeais pas. Je peux quelque chose pour vous ?
-Nous ne devrions pas rester ici à rien faire. Nous devrions attaquer les nobles et leur roi pour en finir avec tout ça !
Timonich et Benjev c’était rencontré il y a bien longtemps, Benjev était alors le fils du bourgeois qui avait fait fortune dans le bâtiment et son fils était un ingénieur réputé. Il aurait pu avoir la belle vie dans la bourgeoisie mais il décida de se battre pour la révolution. Timonich ne doutait pas une seconde de la loyauté de cet homme. Il faisait plus confiance à Benjev qu’à tous ces hommes.
-Vous savez bien que l’heure est grave, les ordres étaient d’attaquer même si le camarade Lirel avait du retard.
Il faisait nuit noire à présent mais une lueur rougeâtre au loin inquiéta Timonich. Benjev se retourna à son tour et vu les braises d’une ville en flamme.
-Charlievich, cette ville était sous notre contrôle je crois ?
-Oui camarde Junkov.
-A combiens de jours de marche est-elle ?
-Je pense à au moins 3 jours ou 2 si nous marchons vite.
- Qu’on me ramène mon cheval et mon arc, on part à la chasse !
Benjev connaissait bien le sourire qu’abordait son ami Timonich. Il savait qu’il y avait du royaliste à tuer. Timonich avait fait parler de lui pour ces prouesses à l’archerie monté. Il se tourna un peu la tête vers Benjev.
-Je te laisse les commandes du camp, je prends quelques hommes avec moi. Ils ont besoin de nous. Il se retourna vers les soldats. A celui qui me ramène le plus de heaume de chevalier royaliste je lui payerais un coup à boire !
-Camarade Junkov, pourquoi somme nous encore ici à attendre ? Nous sommes tous prêt et attendons vos ordres.
Timonich leva les yeux pour regarder fixement dans celui qui l’avait interrompu dans ces pensées.
-Camardes, saviez-vous pourquoi nous sommes tous ici à faire la guerre ?
Les quelques soldats se regardaient sans vraiment comprendre la question. Un homme se leva et répondit :
-C’est pour lutter contre l’oppression des nobles contre le peuple de Nordrosia.
-C’est exacte, et cette lutte a été rendu possible par des hommes comme le camarde Lirel. Alors que je n’étais qu’un prolétaire au service des bourgeois, le camarde Lirel m’a montré la voie à suivre pour lutter et abattre les assassins de mon père.
Timonich savait qu’il avait déjà raconté cette histoire mais il aimait bien la raconter.
-Je peux bien attendre que le camarde Lirel arrive pour qu’on puisse entrer tous ensemble en libérateur de la ville.
Il savait maintenant que les hommes pourront patienter encore quelques jours.
A ce moment, le camarde Benjev Charlievich arriva pour parler avec Timonich.
- Camarde, on n’a toujours pas de nouvelle de l’expédition de Breizh.
-Merci beaucoup Benjev, vous pouvez disposer.
Charlievich était toujours à côté de lui et ne bougeais pas. Je peux quelque chose pour vous ?
-Nous ne devrions pas rester ici à rien faire. Nous devrions attaquer les nobles et leur roi pour en finir avec tout ça !
Timonich et Benjev c’était rencontré il y a bien longtemps, Benjev était alors le fils du bourgeois qui avait fait fortune dans le bâtiment et son fils était un ingénieur réputé. Il aurait pu avoir la belle vie dans la bourgeoisie mais il décida de se battre pour la révolution. Timonich ne doutait pas une seconde de la loyauté de cet homme. Il faisait plus confiance à Benjev qu’à tous ces hommes.
-Vous savez bien que l’heure est grave, les ordres étaient d’attaquer même si le camarade Lirel avait du retard.
Il faisait nuit noire à présent mais une lueur rougeâtre au loin inquiéta Timonich. Benjev se retourna à son tour et vu les braises d’une ville en flamme.
-Charlievich, cette ville était sous notre contrôle je crois ?
-Oui camarde Junkov.
-A combiens de jours de marche est-elle ?
-Je pense à au moins 3 jours ou 2 si nous marchons vite.
- Qu’on me ramène mon cheval et mon arc, on part à la chasse !
Benjev connaissait bien le sourire qu’abordait son ami Timonich. Il savait qu’il y avait du royaliste à tuer. Timonich avait fait parler de lui pour ces prouesses à l’archerie monté. Il se tourna un peu la tête vers Benjev.
-Je te laisse les commandes du camp, je prends quelques hommes avec moi. Ils ont besoin de nous. Il se retourna vers les soldats. A celui qui me ramène le plus de heaume de chevalier royaliste je lui payerais un coup à boire !
